«Il y a chez tout quinquagénaire ou sexagénaire, chez le plus attentif, le plus méticuleux, un petit étourneau de dix ans qui ne vieillit jamais»
Alors, vous vous sentez plutôt junior sénior, sénior ou sénior sénior ?
Autrement dit, vous êtes plutôt Daft punk, Johnny et les Beatles, Charles Trenet ou encore Maurice Chevalier ou Luis Mariano ?
Quoiqu’il en soi de l’âge, finalement le plus important est la façon dont on vit ce passage, ce franchissement de cap ; et cela peut s’avérer plus ou moins facile à vivre, selon que l’on se trouve en bonne forme, que l’on est entouré de sa famille, de ses amis, que l’on a des activités, des passions etc.
Dans l’Avare, Molière écrivait : « Qu’est-ce que cela, soixante ans ? (…) C’est la fleur de l’âge, cela, et vous entrez maintenant dans la plus belle saison de l’homme » (II, 5)
Plus facile à dire (ou à écrire) qu’à faire… Car la vie nous réserve toujours son lot de soucis, de contrariétés, de problèmes de santé…et les séniors ne sont pas exempts d’avoir à subir beaucoup de stress, d’anxiété, de doutes, notamment quand ils s’aperçoivent que leur corps vieillit et ne répond plus aussi bien qu’avant, que leur mémoire semble parfois ne plus être infaillible, qu’ils se sentent seuls, que leurs ruminations les empêchent de dormir, ou que le fait de devoir faire des examens médicaux et de prendre des médicaments est difficile à accepter…
Pour toutes ces situations, et bien d’autres encore, la sophrologie permet d’apprendre ou de réapprendre à se poser, d’être à l’écoute de son corps et de ses émotions, de prendre ou reprendre conscience de ses capacités pour que les seniors soient en mesure de gérer leurs maux du quotidien et de retrouver, de façon rapide et autonome, un réel mieux-être.
"La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent"